« Ça va trop loin » : Michou réagit face aux attaques contre Elsa Bois

Par La Rédaction 2 Min de lecture
Crédit photo : Instagram

Le célèbre youtubeur Michou a pris la parole pour dénoncer les attaques visant sa compagne, Elsa Bois, victime d’un cyberharcèlement après une vidéo virale sur les réseaux sociaux.

UNE VIDÉO VIRALE À L’ORIGINE D’UNE POLÉMIQUE

Depuis la diffusion d’un extrait sur X (anciennement Twitter), Elsa Bois, danseuse emblématique de Danse avec les Stars et compagne de Michou, fait l’objet d’une campagne de harcèlement en ligne. La vidéo en question, visionnée plus de 40 millions de fois, montre la jeune femme répondant à un message sur son téléphone. Ce simple geste a suffi pour alimenter des accusations infondées de tromperie, relancées par des internautes malveillants.

UNE CAMPAGNE DE DÉNIGREMENT INQUIÉTANTE

Les accusations se sont intensifiées, accompagnées d’extraits sortis de leur contexte, provenant de lives précédents du couple. Insultes et propos dégradants s’accumulent contre Elsa Bois, suscitant la réaction ferme de Michou. Sur Instagram, le youtubeur de 23 ans a exprimé son indignation :

« Ça va beaucoup trop loin, ça me casse les couilles à partir du moment où ça touche mon entourage. »

Il a également dénoncé le comportement de certains internautes qui, selon lui, « partent en couille avec ces clips de merde ».

TROIS ANS D’AMOUR SOUS LES PROJECTEURS

Michou a rappelé que leur couple, formé il y a trois ans, a toujours été confronté à des rumeurs, mais qu’ils restent solides et heureux ensemble :

« Tout se passe bien, on est très heureux (…) vous partez en couille tout seul. »

Elsa Bois, pour sa part, a réagi sur Instagram avec une photo du couple, accompagnée d’un message invitant à la discrétion :

« Juste deux enfants heureux s’occupant de leurs affaires, comme vous devriez le faire. »

UN FLÉAU SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX

En seulement 48 heures, Elsa Bois a été mentionnée dans plus de 21 000 publications sur X, révélant l’ampleur du phénomène. Ces campagnes de cyberharcèlement posent une nouvelle fois la question de la responsabilité des plateformes dans la gestion des dérives en ligne.

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